Découverte par un explorateur français en 1699, Bâton-Rouge, capitale de la Louisiane, a su se développer grâce au Mississippi qui longe la ville et à son emplacement près du golfe du Mexique. Naturellement, cela cause quelques problèmes d'inondation de temps à autre, mais les Batons Rougeons y sont habitués, plusieurs bâtiments sont construits en fonction et les caves et sous-sols ne sont pas très populaires dans les constructions les plus récentes.

Elle a de fortes racines françaises, africaines et espagnoles qui se sont de plus en plus perdues au fil des années. Aujourd'hui, la majorité des habitants ne parlent plus qu'anglais. Ses racines se voient tout de même, que ce soit dans son architecture aux styles variés ou dans sa culture éclectique. Certains ont peut-être oublié la langue, mais pas l'histoire.

Après l'ouragan Katrina, elle est devenue la deuxième ville la plus peuplée de la Louisiane avec plus de 228 000 habitants selon le dernier recensement datant de 2014. Cet ouragan a à peine touché la ville, quelques coupures d'électricité et des arbres arrachés. Par contre, d'autres tempêtes l'ont touchée et vont sûrement encore le faire de par son emplacement. Suite à cela, elle est devenue la huitième ville la plus violente des États-Unis. C'est un endroit prisé des CESS pour passer inaperçu niveau violence. À se demander si elle n'est pas devenue aussi violente à cause d'eux.

Amateurs de froid, passez votre chemin, il fait en moyenne 10^○C en hiver et 26^○C en été. Avec l'humidité toujours présente, le ressenti est encore plus chaud. Pour plus d'information, on clique.

Ville importante dans plusieurs domaines (industriel, médical, pétrochimique, recherche, cinéma et technologie), il y a une rivalité entre Bâton-Rouge et la Nouvelle-Orléans. Elle a une forte économie, mais 24 % de sa population vit sous le seuil de pauvreté.

Malheureusement, à cause de l'usine ExxonMobil, c'est une ville qui est polluée et qui ne sent pas très bon. Il n'est pas toujours conseillé d'étendre vos vêtements à l'extérieur, à moins de vouloir vous promener avec des vêtements à l'odeur particulière.

Bonne chance pour y rouler, ses routes sont souvent pleines, et il faut être patient sur les autoroutes, vraiment patient : en trente-deuxième position niveau congestion des routes des États-Unis. Il vous est donc conseillé de prendre l'autobus via le Capital Area Transit System (CATS) ou bien le Tiger Trails pour l'université.

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